Nous ne trompons personne. En ce jour férié, la seule chose que nous célébrons, c’est la grasse matinée. Et le muguet, peut-être. Nous sommes ravis de ne travailler que quatre jours dans la semaine, voire trois, pour les petits chanceux qui font le pont.
Si le premier mai est une journée de célébration de tous les combats menés par les travailleurs, aujourd’hui, on ne peut pas dire que ce soit la première chose qui traverse notre esprit… Surtout à une époque où travail équivaut souvent à burn-out et mal-être. Lire la suite (HuffPost)
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