La qualité de la vie au travail ? C’est l’un des premiers soucis de la génération Y. Pour satisfaire ces employés exigeants, les entreprises investissent dans un nouveau métier : le “Chief Happiness Officer” ou directeur… du bonheur ! Vrai changement ou effet de mode ? Le point avec TourMag .
C’est prouvé : un travailleur heureux est deux fois moins malade, 31% plus productif et 55% plus créatif. Quel meilleur argument pour embaucher un responsable du bonheur ? Organisateur d’événements internes, médiateur au service de l’ambiance au travail , il incarne aussi la culture de l’entreprise. Une mission qui nécessite empathie, qualités relationnelles et créativité.
Et les entreprises en raffolent : la demande pour des postes de “chief happiness officer” a été multipliée par 6 en 2016. Alors certes, la majorité des CHO occupent en fait les fonctions déjà connues de l’ office manager . Mais au-delà du “buzzword”, cette tendance en dit long sur l’ évolution des mentalités : le bonheur en entreprise, c’est désormais une affaire de pros ! Et aussi un service que l’on peut demander à un prestataire externe dans un premier temps, pour le découvrir en douceur.
Pour en savoir plus sur ce métier du futur, rendez-vous sur TourMag.
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