De plus en plus présent dans les médias et sujet favori des chercheurs, le bonheur au travail est au cœur des préoccupations actuelles. Les entreprises ont en effet compris que des salariés heureux contribuent à améliorer la productivité et l’image de la société. Tour d’horizon.
Les Français sont-ils heureux au travail ?
Des études récentes démontrent que 67 % des salariés français sont satisfaits de leur niveau de bien-être au travail contre 71 % dans 15 autres pays. Ressentant le besoin de se projeter et d’évoluer dans leur entreprise, ils accordent une importance particulière au développement des compétences et à la considération de leur expérience.
Afin d’estimer le bien-être au travail, le cadre, l’attention et les émotions sont trois piliers à prendre en compte. Sur ces plans, les employés français se révèlent plus pessimistes que leurs voisins européens. D’autre part, s’ils sont moins confiants par rapport à leur avenir professionnel et celui de leur pays, ils ont foi en celui de leur entreprise.
Aujourd’hui, trois formes de souffrance au travail font parler d’elles :
L’épuisement professionnel ou burn-out, le bore out qui survient lorsque les salariés vivent un profond ennui dans leur travail et le brown-out auquel les générations Y et Z sont particulièrement sensibles. Ce dernier mal frappe le travailleur lorsqu’il ne trouve pas de sens à son activité professionnelle. Conscients que les carrières sont loin d’être toutes tracées, les personnes entre 19 et 30 ans renoncent aux grandes entreprises et préfèrent s’adonner à leur passion.
Heureusement, plusieurs initiatives sont prises en Europe pour redonner un sens au travail et ainsi encourager l’optimisme. La thématique rencontre un franc succès, comme en témoignent les résultats des moteurs de recherches en ligne.
Le succès des Chiefs Happiness Officers
Sous la pression, un travailleur peut être productif, mais pour combien de temps ? Le travail doit être une source d’épanouissement et de joie, car il occupe la majeure partie de notre temps. Les nombreuses études menées jusqu’à présent ont démontré qu’accroître le bonheur des salariés est profitable à l’entreprise et à l’État. En effet, plus ils sont heureux, plus ils sont productifs, engagés et fidèles. Les employeurs ont donc tout intérêt à s’y investir.
Depuis quelques années, un métier venu des USA fait le buzz en France : le CHO ou Chief Happiness Officer. Son rôle est avant tout de valoriser les réussites, individuelles et collectives, mais aussi d’encourager une meilleure cohabitation. Bien que l’idée du CHO, plus populaire auprès des start-ups, soit d’évaluer le bien-être des salariés, certaines entreprises ne le considèrent toujours pas comme une solution.
Quand l’entreprise se réinvente
L’entreprise franco-vietnamienne de sites internet Offshore Officénie est un parfait exemple de boîte favorisant le bien-être au travail. Encourageant la mondialisation positive, le partage de valeur et de savoir, etc., et s’alliant uniquement avec ceux qui partagent les mêmes valeurs, elle a décidé de renoncer au management pyramidal. Les résultats sont une baisse de la pression subie et un échange autre que celui du flux financier.
Vous souhaitez en apprendre davantage ? N’hésitez pas à contacter l’office manager pour obtenir plus de précisions.
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